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Capital Lumière de Clarins

Capital Lumière de Clarins

Elle est enfin arrivée cette petite crème, lumière de nos espoirs, une crème moelleuse et fondante qui laisse la peau rayonnante, comme éclairée de l'intérieur.

Lumière… où étais-tu partie ?
Grâce aux progrès de la cosmétique, les femmes ont gagné des années jeunesse mais il restait un domaine jusqu'ici non maîtrisé : la perte de luminosité de la peau, soit son "capital lumière".  Afficher malgré l’âge une peau naturellement lumineuse, qui reflète la vitalité et la bonne santé : une préoccupation devenue essentielle pour bon nombre de femmes, au même titre que le désir de retrouver une peau lisse et ferme.

Mais comment redonner à la peau cette luminosité qui va bien au-delà de l’éclat momentané que procurent un gommage ou une journée au grand air ?

La Recherche Clarins apporte aujourd’hui la réponse. S’appuyant sur une analyse approfondie des propriétés optiques de la peau, elle révèle que la perte de luminosité cutanée a des causes multiples et elle démontre surtout l’étroite corrélation existant entre la perte de luminosité et la perte de fermeté à l’origine des rides marquées.

La lumière dans la peau

D’où vient la luminosité naturelle de la jeunesse ? Pour le comprendre, rappelons que plus de 90% de la lumière visible n’est pas directement réfléchie par la surface cutanée, mais pénètre dans la peau. Sa luminosité dépend donc de la façon dont cette lumière interagit avec les différentes structures cutanées qu’elle rencontre en chemin. Certaines vont la réfléchir, d’autres l’absorber. La principale structure réfléchissante de la peau est le réseau de fibres de collagène et d’élastine du derme : il joue un peu le rôle du tain d’un miroir coulé sous la plaque de verre pour renvoyer la lumière. Plus ce réseau de fibres sera dense, régulièrement renouvelé et tissé, meilleure sera la réflexion lumineuse.

Deux autres composants colorés, appelés chromophores, participent à la perception de la luminosité cutanée : la mélanine et l’hémoglobine. Contrairement aux fibres dermiques, ces chromophores ne réfléchissent pas la lumière, mais en absorbent plus ou moins les longueurs d’onde pour rétro-diffuser une couleur visible à la surface de la peau.

> Lorque les pigments de mélanine sont régulièrement répartis dans l’épiderme, la peau apparaît parfaitement unie, sa coloration dépendant de la concentration en pigments bruns d’eumélanine. A contrario, l’hyperfonctionnement de certains mélanocytes lié à l’âge entraîne une surconcentration localisée de pigments : la peau apparaît alors piquée de taches, comme un miroir vieilli.

> L’hémoglobine contribue également à la coloration et à la luminosité cutanées. Chez les peaux jeunes qui disposent d’un réseau de capillaires dense et fin, la couleur rouge de l’hémoglobine éclaire la peau d’un bel éclat rosé. Roseur qui disparaît avec la diminution de la vascularité due à l’âge.

Pour finir, n’oublions pas que 4 à 7% de la lumière visible est immédiatement réfléchie par la surface cutanée. Une peau ridée créera des zones d’ombres. L’eau participant à la diffusion de la lumière, une peau sèche apparaîtra plus terne. Et des taches de pigmentation feront obstacle à la diffusion de la lumière vers les couches dermiques.

Toutes les structures cutanées participent à la luminosité profonde de la peau. Toutes ces structures sont altérées par l’âge. Seule une action anti-âge intensive ciblant en priorité le derme, principale structure réfléchissante, peut redonner à la peau sa luminosité originelle.

Perte de luminosité, perte de fermeté : une même origine dermique.

Si le rôle que jouent la mélanine et la microcirculation dans la perception de l’éclat de la peau est déjà bien connu, celui du derme a été moins abordé. Les fibres de collagène, organisées en maillage régulier chez les peaux jeunes, se regroupent peu à peu en ”pelotes” irrégulièrement réparties dans la matrice extracellulaire. Conséquence : le derme perd de sa capacité à soutenir l’épiderme, mais aussi à réfléchir la lumière de façon uniforme.

Ces modifications sont liées à l’incapacité progressive du derme à éliminer ses composants devenus défectueux : fibres altérées, protéines cellulaires oxydées ou cellules en fin de vie. Nous n’entrerons pas dans les détails mais l’âge perturbe l’équilibre de sélection et de régénération.

Cochléaire officinale, waltheria, sabline : les plantes pionnières

Ce soin anti-âge extrême redonne à votre peau la lumière, la vitalité et la fermeté perdues avec les années grâce à l'exceptionnel pouvoir de trois plantes pionnières. Curieuse de savoir ce que sont les plantes pionnières? Rien à voir avec la majesté de certaines beautés exotiques : les trois plantes qui livrent leurs extraits aux soins Capital Lumière ont l’allure plutôt modeste... Mais cette modestie cache des propriétés remarquables. Elles font parties de la grande famille des plantes dites “pionnières”, qualificatif attribué par les botanistes aux végétaux capables de prendre racine sur les sols les plus hostiles, de les coloniser et de contribuer ainsi à la recréation de la biodiversité.

Sur terre elles recréent la vie,
Sur la peau elles font renaître la lumière...

Capital Lumière de Clarins 1

Cochlearia officinalis
Sur les rochers et les sables des côtes de la Manche et de l’Océan Atlantique, la cochléaire officinale déploie ses longues tiges surmontées de petites fleurs blanches et odorantes. Halophile, c'est-à-dire amie du sel, la cochléaire officinale s’est parfaitement adaptée aux conditions de vie du bord de mer. Ses feuilles épaisses et vernissées lui permettent de stocker l’eau et les éléments nutritifs indispensables à sa survie. Très riche en vitamine C - elle était autrefois préconisée pour prévenir le scorbut, maladie affectant les marins au long cours - la cochléaire est également antiseptique et fortifiante.

Capital Lumière de Clarins 2

Spergularia rubra
Les fleurs de cette plante discrète s’épanouissent de juin à septembre, égayant de leur couleur rosée les sols de sables et de rocailles d’Europe et d’Afrique du Nord. La capacité de la sabline à croître sur les terrains arides tient à sa racine longue et résistante qui s’infiltre profondément pour trouver l’eau, contribuant ainsi à fixer les sols. Au Maghreb, réduite en poudre et mélangée à de l’huile d’olive, elle permet de fabriquer une pommade qui est utilisée pour atténuer les taches pigmentaires. Elle est également prescrite en cas de calculs rénaux, d’où son surnom de « casse-pierre ». Exclusivité Clarins, l’extrait de sabline a démontré in vitro son activité anti-taches.

Capital Lumière de Clarins 3

Waltheria indica
Plante des tropiques, la waltheria est une pionnière qui assouvit sa soif d’expansion en colonisant les espaces vierges de toute végétation : zones sableuses ou rocailleuses, terrains vagues. Elle est reconnaissable à ses feuilles recouvertes d’un duvet protecteur. Fascinées par son obstination à croître sur ces sols peu accueillants, les populations locales ont découvert au fil du temps ses propriétés thérapeutiques : antiseptiques, anti-inflammatoires, anti-asthmatiques, anti-névralgiques… L’extrait de waltheria possède des vertus apaisantes et anti-âge reconnues. En combinaison avec d’autres composantes, elle agrandit le spectre d’activités restructurantes.

Un petit pot rempli de promesses
Capital Lumière de Clarins 4

Recherchez le flacon en verre givré lumineux laqué blanc nacré et capot rond habillé d’or blanc.

Ces deux nouveaux soins anti âge se complètent pour régénérer et revitaliser la peau. Capital Lumière Jour va agir pour réduire la pigmentation de la peau et unifier le teint, tandis que le soin Capital Lumière Nuit boostera la micro circulation pour un teint frais au réveil.

Laissez ces pionnières rendre à la peau de celles qui ont toujours 20 ans dans leur tête, la fermeté lumineuse perdue avec les années.

 
 
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